«…Pourquoi faudrait-il, à toute force, se contraindre à goûter aux plats des tambouilles à la mode…»
Cet éclat agacé et quelque peu iconoclaste n’est pas le fait d’un anarchiste ou d’un jeune désireux de choquer pour attirer l’attention sur sa personne.
Non! Bruno Frappat est un des journalistes les plus expérimentés de notre pays, et un chroniqueur de talent.
Ainsi qu’il l’écrivait il y a quelque temps, il lui est venu «comme une envie de siffler» comme d’aucuns le font devant une mauvaise pièce de théâtre !
Et si l’Eternel te disait, à toi, comme Il le demanda à Elie (1 Rois : ch. 19: v. 9):
«Que fais-tu ici ?…»
Question qui peut concerner le lieu ou la raison de ta présence, ou la compagnie dans laquelle tu te tiens…
Le «Que fais-tu ici ?» ou «Pourquoi es-tu là ?» est dans l’interrogation même déjà un reproche et demande une explication, ou pour le moins appelle à la réflexion.
«Que fais-tu ici ?»
Si cette parole t’était adressée aujourd’hui, que répondrais-tu au Seigneur ?
Les jeunes Louis, Lucas, Alban et Robin, âgés de 6 à 10 ans, ne s’attendaient sans doute pas à faire une telle découverte alors qu’ils marchaient le long du ruisseau du village.
Cette petite bande d’enfants de Storckensohn (Haut-Rhin), habituée à se promener dans la campagne, dans la forêt toute proche ou le long de ce cours d’eau, avait prévu ce jour-là de pêcher grâce à des cannes qu’elle s’était fabriquées avec des branches de noisetiers.
La veille, Robin, l’aîné d’entre eux, avait aperçu un sac sous un pont, qu’ils allaient maintenant récupérer pour le mettre, pensaient-ils, à la poubelle. Mais voilà qu’en inspectant le contenu du sac, les enfants découvrent des boîtes contenant… des bijoux. Continuer la lecture …

bLes questions se bousculent dans la tête du jeune garçon néo-zélandais, en route pour l’orphelinat de l’église anglicane de Lower Hutt, près de Wellington: Pourquoi sa mère ne veut-elle pas de lui? Pourquoi doit-il venir en ce lieu? Qu’a-t-il fait de mal? Après des années vécues dans la misère, une page est tournée dans la vie de David Bussau. Son père a fini par abandonner femme et enfants, et la mère, seule, se voit contrainte de confier les deux derniers à l’orphelinat.
Un de mes amis, pasteur dans le sud de la France, m’a fait parvenir le texte publié ci-après.
Il aborde un thème presque vieux comme le monde, mais plus que jamais d’actualité.
La médisance, la calomnie… les rumeurs… sont comme un poison qui se répand et parfois tue !
Que ce soit de manière quasi inconsciente au cours de commérages quotidiens, ou volontairement propagés, savamment distillés dans le but de nuire et de détruire,
le résultat est le même, sinon dans l’étendue, du moins dans le mal qui est fait.
Yves Duteil, chanteur de renom est le petit-neveu du capitaine Dreyfus. Continuer la lecture …
La souffrance!
Ne faut-il pas parler plutôt de ceux qui souffrent?
Il est tellement aisé d’entretenir un débat théologique ou philosophique sur ce thème, et d’oublier la réalité quotidienne vécue par des hommes et des femmes, jeunes et vieux.
A chaque génération des multitudes de toutes races, de toutes classes en sont victimes. Comme devant la mort, devant la souffrance règne une égalité totale.
Nul ne peut s’y soustraire! Telle est la condition des hommes.
Ses formes sont diverses: qu’elles soient physiques, affectives, psychiques ou matérielles, toutes sont douleur, tristesse, parfois désespoir. Son intensité n’est pas toujours directement proportionnelle à ce que la raison peut en saisir; la souffrance affective d’un enfant provoquée par un événement mineur aux yeux des adultes peut être aussi profonde que celle que connaît l’adulte pour quelque chose d’apparence bien plus grave…
C’est pourquoi celui qui veut compatir à la détresse d’autrui doit s’arrêter d’abord, dans une écoute de cœur, sur ce que vit et ressent la victime elle-même.
« Plus je suis suivie, plus je me sens seule », « J’ai parfois eu des pensées suicidaires et j’en suis peu fier… », » Quand la tournée s’arrête, tu te dis : à quoi je sers ? »… autant de phrases, plus ou moins célèbres, qui illustrent une même réalité, ou plutôt une même détresse. Celle des personnes que nos sociétés appellent « célébrité », qui cumulent les « followers » de toutes sortes sur les réseaux sociaux et façonnent les comportements de beaucoup. Mais au-delà des apparences, de leur notoriété, de leur richesse, des honneurs, etc. un nombre grandissant d’entre elles est habité par un malaise existentiel profond, au point de devoir pour certaines se retirer un temps à l’écart. Continuer la lecture …
Mais quel personnage étrange que ce monsieur, relativement âgé, bien habillé, qui chaque jour restait assis devant la mer sur la côte est de Long Island, une canne à pêche à la main! Il semblait totalement immobile, il ne rembobinait jamais sa ligne pour voir si un poisson avait mordu à l’hameçon, il ne levait même pas la tête pour saluer des passants.
Quelle réponse étonnante, et qui paraîtra presque arrogante, fit le jeune avocat aux membres de l’église qu’il fréquentait!
Mais nulle arrogance chez ce jeune homme intelligent et observateur.
A la recherche de la vérité, il ne voulait pas être influencé, encore moins entraîné dans quelque tradition ou assemblée religieuse, par conformisme, imitation ou désir de plaire.
L’authenticité, la sienne jusqu’au tréfonds de son âme, mais aussi celle des autres et du milieu où il s’engagerait, était première et essentielle pour lui! Elle le demeura toute sa vie, portée par un cœur tout entier à Dieu, et une obéissance totale à la Parole de Dieu.