Un aristocrate anglais qui voyageait en Océanie, s’arrêta aux Iles Fidji afin de les visiter.

Cet homme fut très étonné de constater que l’Évangile avait atteint cette contrée du globe. Lui-même avait rejeté toute pratique religieuse, et militait pour que le plus grand nombre suive son exemple. Aussi, quand il rencontra le chef d’un village qui professait la foi chrétienne, chercha-t-il à le persuader que ces pratiques étaient dépassées, d’un autre âge, qu’elles ne servaient strictement à rien et que dans le monde « civilisé », un grand nombre de personnes abandonnaient ce qu’il décréta être « des superstitions pour vieilles femmes ».

Le chef du village lui déclara alors : « Vous voyez là ce grand bloc de pierre ? C’est là que nous exécutions nos prisonniers en leur fracassant la tête sur le rocher. Et vous voyez ce grand four à côté, c’est là que nous les rôtissions ensuite pour nos repas de grandes fêtes.

Donc, si nous n’avions pas eu des missionnaires pour nous donner la Bible, et nous parler de l’amour de Jésus-Christ qui a transformé nos vies alors que nous étions des sauvages, eh bien! vous, vous ne quitteriez pas vivant ce lieu. Soyez reconnaissant que l’Évangile nous ait atteints, sinon nous vous aurions tué, rôti, et nous aurions mangé votre corps durant un grand festin ! »

Le pouvoir de transformation de l’Évangile ne s’est pas estompé avec le temps. Noël est là qui nous rappelle qu’aujourd’hui encore Dieu vient vers les hommes par le Christ Jésus, pour leur annoncer à tous une grande nouvelle : par la repentance et la foi, tous peuvent rencontrer Jésus, le Sauveur des hommes. Dieu est prêt à pardonner les fautes, à transformer les vies et les combler de paix et d’une joie qui ne tarit pas.

Nul n’est repoussé, tous sont accueillis, quels qu’ils soient, c’est là la bonne nouvelle de Noël, « car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle ». (La Bible)